Par le général Georges Bergé En juin-juillet 1940, nous, les volontaires français qui avions décidé de continuer la lutte avec le général de Gaulle, nous étions « parqués » à l’Olympia. Je dis bien « parqués » parce que l’Olympia Hall était (et est toujours) un vaste building de béton, destiné à abriter des expositions diverses et qu’il ne …