Allocution prononcée par le général d’armée Jean Simon, chancelier de l’Ordre de la Libération, lors des obsèques de Théodore Meyer, secrétaire général national de l’AFL, à Strasbourg, le 19 octobre 1988. Il me revient aujourd’hui le pénible devoir de rendre hommage à notre camarade Théodore Meyer dont la disparition soudaine a plongé dans la peine …