
Le ralliement du Cameroun
(1) Refusera de se rallier le 28 août au général de Larminat. En août 1944, en entrant à Toulon, quelques camarades et moi avons rencontré le général Husson, cantine faite : « Ah enfin, vous voilà. Je vous attendais, maintenant en avant ».
(2) Port bananier de Nigeria dans le delta du Mungo.
(3) En réalité, de Boislambert était l’adjoint de Leclerc : nous ne le savions pas encore.
(4) Le nom appelé était bien Marty ; mais il s’agissait, je le saurai un peu plus tard, d’un homonyme recherché pour son anti-gaullisme.
(5) Mort comme lieutenant-colonel à Fréjus en 1945, de maladie.
(6) C’est l’ancienne résidence construite par les Allemands.
(7) Celle exactement qui est réglementaire maintenant : connaît-on cette origine ?
(8) Région de Kongsamba, commandée par l’administrateur Vergès.
(9) Sera nommé aumônier du B.M.4 et mourra d’accident à Saltan en Tripolitaine le jour de Pâques 1943, alors que la 1re D.F.L. faisait mouvement de Tobrouk à Kairouan.
(10) Le capitaine Lecomte avait déjà quitté Yaoundé vers le 10 août en permission à Bamenda au Cameroun britannique, au Nord de Foumbam.
(11) Cet officier était d’ailleurs gaulliste 90 %, les 10 % restant étaient d’« obéissance aux ordres reçus ».
(12) Venu de Bobo-Dioulasso, prend le commandement du B.M.4 qui rejoint en Syrie les F.F.L. au début 1941.
(13) Sera formé en 1941 au camp d’Ornano, quittera le Cameroun fin 1941 par la route et après un bref séjour en Syrie début 1942, rejoindra la 1re D.F.L. en Égypte le 20 juillet.
(14) Colonel Magrin-Verneret.
Extrait de la Revue de la France Libre, n° 12, octobre-novembre 1948.